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Arts Jedi n°1 - Histoire et techniques primordiales

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Arts Jedi n°1 - Histoire et techniques primordiales  Empty Arts Jedi n°1 - Histoire et techniques primordiales

Message par El Colibris Mar 23 Fév - 11:02

Il est important de noter que les données concernant les combats au sabre laser sont extrêmement nombreuses et versatiles. A été retenue ici, la nomenclature la plus répandue et la plus récente, contenue dans les films et complétée par l’Univers Etendu.

Histoire :


Les Arts Jedi furent créés et codifiés sur Ossus, planète de naissance de l'Ordre Jedi proprement dit.


Auparavant, la communauté d'érudits qui étudiait la Force sur Tython était strictement pacifiste. Parmi leurs expérimentations sur la Force, ils pratiquaient une sorte de gymnastique pour ressentir ce courant d'énergie omniprésent sur la planète. Avec le temps, deux formes de cette technique se codifièrent: l'Ashla, centrée sur un ressenti passif et harmonieux de la Force; et le Bogan, qui était dans une démarche plus active pour canaliser et libérer cette énergie sous un aspect spectaculaire: les pouvoirs de la Force.

Malheureusement, les pratiquants du Bogan, à force d'abuser des pouvoirs conférés par leur art de méditation, finirent corrompus par le Côté Obscur de la Force; ce qui déclencha la confrontation avec les pratiquants de l'Ashla, alignés sur ce qu'on peut qualifier rétrospectivement de Côté Lumineux; conduisant aux fameuses guerres de la Forces, en 25 800 av.BY. Dans un premier temps, les adeptes de l'Ashla furent désemparés par les pouvoirs destructeurs utilisés par ceux du Bogan, sous forme de vagues télékinétiques ou de décharges électriques véritablement ravageuses.

Après avoir tenté sans succès de les affronter sur ce terrain, au bord de la défaite, ils changèrent de tactiques en allant les chercher au corps à corps, combattant à main nue ou avec toute sorte d'armes blanches à portée de main. Ils se rendirent compte que l'application de l'Ashla au combat décuplait leurs capacités physiques et sensorielles, ce qui leur donnait un net avantage sur les pratiquants du Bogan qui avaient besoin de temps pour se concentrer, et ne pouvait pas utiliser pleinement leurs pouvoirs de près sans risquer de se blesser. Le rapport de force s'équilibra
Les adeptes d’Ashla fondèrent l'Ordre Jedi, supprimèrent cette distinction entre techniques de méditation pour se focaliser exclusivement sur l’utilisation du Côté Lumineux; et mirent leurs capacités guerrières nouvellement acquises au service de la République, afin de défendre la Paix et la Justice dans la Galaxie. Leur méthode de combat étant fondée sur l'usage de l'escrime assisté de la Force, progressivement codifié sous ce qu'on appellera Arts Jedi.

Aux premiers temps de la République, les escrimeurs Jedi s'imposèrent en tant que combattant de première ligne dans le chaos des conflits armés, parant les tirs ennemis avec de simples vibrolames, puis les retournant à l'envoyeur avec l'apparition des sabres-laser. Suite à la grande guerre de l’hyperespace, l’utilisation des sabres lasers et des techniques associées ne cessèrent de se généraliser parmi les adeptes de la Force.


Nomenclature : Formes et styles


L'enseignement du maniement du sabre, est synthétisé en une douzaine de Formes d'Arts Jedi ; le nom de "Forme" désigne à la fois les techniques de maniement du sabre, et l'ensemble des mouvements, passes, enchaînements, parades et bottes propres à chaque style de combat.

Il existe cinq Formes dites Primordiales, qui constituent les bases du maniement du sabre-laser. Il existe cinq autres Formes dites secondaires, plus spécifiques ou plus complexes, deux Formes tertiaires qui concernent le maniement de deux sabres-laser ou du double sabre-laser, et deux Formes quaternaires qui sont des Formes combinées avec des pouvoirs préhensifs ou physiques, limitant l'utilisation du sabre-laser.

Cependant, il faut noter que ce cloisonnement ancien, bien qu'utile pour l'apprentissage, n'est pas toujours justifié en terme de pratique, et les combinaisons aboutissent à la création de styles mixtes ou hybrides.

L'apprentissage d'une Forme nécessite de nombreuses années d'entraînement, et n'est jamais véritablement complet. D'autre part, une seule Forme ne peut suffire à une pratique polyvalente du sabre. De fait, même si chaque Forme en soi représente un style à part entière, aucune n'est assez complète pour s'adapter à toutes les situations.

Il faut noter que l'utilisation d'attaques physiques (coups avec le corps ou les membres) et d'arts martiaux est souvent combinée aux Formes de maniement du sabre, mais ne fait pas l'objet d'une Forme à part ; ces techniques sont intégrées dans les codes qui régissent les différentes Formes, ou utilisées spécifiquement par les combattants : par exemple dans le cas du Teräs Käsi, l'un des principaux codes d'art martiaux connus.

Escrime


L'estoc est une attaque transperçante effectuée par la pointe de la lame.
La taille est une attaque de tranche effectuée avec une partie de la lame.
La garde définit non pas la poignée du sabre mais la tenue du sabre lorsqu'il est immobile (ni en attaque, ni en défense).

Formes Primordiales


Forme I, Shii Cho


Cette Forme de combat comprend toutes les techniques de base du maniement de l'épée, incluant les mouvements d'attaques, de ripostes, de gardes, de parades et d'esquives. En raison de son caractère basique, que l'on pourrait qualifier aujourd'hui de simpliste, la Forme I est donc toujours la première Forme de combat au sabre laser qu'inculquent les mentors à leurs disciples avant de leur enseigner les autres Formes, autrement plus complexes. Elle est relativement simple à enseigner et à apprendre.

Seulement, si cette Forme est encore enseignée au cours des premières années de formation, elle est jugée trop basique par rapport aux autres Formes et est presque inutile face aux techniques de combat et à l'armement moderne.

Forme II, Makashi


Dite Forme d'Opposition

L’apprentissage dure environ un an pour les bases, et jusqu'à dix ou onze années d'entraînement pour un style abouti.

La philosophie de la Forme II est celle d'un style de duel ancien : vaincre l'adversaire par l'habileté et non par la violence, faire preuve de noblesse, de subtilité et d'élégance.

Style de combat conçu pour les duels. L'essentiel de la Forme II tient dans des mouvements de la main, du poignet et du bras : fluidité, dextérité et précision du geste. Le corps ne se déplace que lentement, mais les rotations sont nombreuses, et le bras, très mobile, est le support du sabre qui effectue des mouvements très fluides et des attaques tournoyantes entrecoupées de parades précises et de bottes délicates. Le Makashi repose sur des enchaînements compliqués qui peuvent être combinés et répétés autant de fois que nécessaire et dont l'objectif est de contrer l'adversaire avec brio jusqu'à passer ses défenses sans user de la force physique ou de la ruse. Aussi redoutable que raffiné, ce style emploie certaines des bottes les plus délicates des Arts Jedi.

(Un exemple : le Comte Dooku)

Forme III, Soresu


Dite Forme de Protection

Le Soresu est généralement, chez les Jedi, la deuxième Forme enseignée après la Forme I. Il faut environ un an pour les bases.

Postures : neutres défensives exclusivement.

Ce style date de l'époque de démocratisation des armes de tir laser et résulte du besoin de se protéger de ces armes à distance. La philosophie du Soresu est la non-agression exclusive.

Style défensif par excellence, conçu presque exclusivement pour combattre des ennemis équipés d'armes à feu, idéal pour le renvoi des tirs de blaster. Le Soresu, assez fixe, à la lame proche du corps mais très mobile, est peu adapté à la contre-attaque car il nécessite une garde et une concentration constantes et est, par essence, une Forme défensive. Ce style aux coups secs et précis et aux enchaînements tournoyants peut cependant être travaillé pour faciliter une plus grande liberté de mouvements. Un personne maîtrisant la Forme Soresu peut littéralement créer avec son sabre un bouclier autour de lui, devenant ainsi virtuellement invulnérable.

Forme IV, Ataru


Dite Forme de Vélocité

L'Ataru est la quatrième des Formes primordiales, et est généralement enseignée dans la même période que la Forme V (ce sont les deux Formes offensives polyvalentes parmi les Primordiales). L’apprentissage ure environ un an pour les bases, et ne possède que de fin qu’une fois l'unification totale avec la force atteinte, c'est à dire la mort.

Postures : neutres offensives ou de duel.

Cette Forme fut introduite dans l'Ordre par des espèces ananthropoïdes (à forme non humaine), et fut ensuite adaptée pour être utilisée par les Humains à l'organisme moins performant. La philosophie de la Forme IV a deux aspects essentiels : d'une part, il s'agit d'un style de combat fondé sur la vitesse, dont les multiples mouvements ont pour but de déstabiliser l'adversaire et de l'attaquer en court-circuitant ses défenses ; d'autre part, elle implique un investissement physique et mental très poussé de la part de son utilisateur.

Par des sauts, des rotations ou des déplacements intenses, l'ensemble du corps porte et accompagne des attaques rapides et surprenantes. Style de combat vif et acrobatique, d'une grande mobilité et aisément compatible à des mouvements d'arts martiaux, la Forme IV est essentiellement offensive, et ses enchaînements lorsqu'elle est pratiquée correctement sont difficiles à prévoir et à parer, même si les attaques de l'Ataru ne sont pas très puissantes en soi car elles se concentrent sur la rapidité de mouvement.

Il faut cependant noter que les techniques de l'Ataru occupent peu de volume : l'essentiel des mouvements se font en effet près de l'adversaire, l'attaque étant très focalisée, et ce style s'inscrit aussi bien dans des espaces réduits qu'en environnement ouvert. Ses bases sont rapidement assimilables car cette Forme se fonde essentiellement sur la vitesse sans être très complexe, mais sa maîtrise requiert un haut niveau d'endurance, de vivacité et d'agilité. En effet, outre les difficultés de coordination et de précision intrinsèques à ce style, son utilisation prolongée est épuisante et nécessite sinon un surentraînement à la Force vive, du moins une excellente forme physique.

L'utilisateur fait appel à la force pour gonfler ses capacités à combattre et (ou) à anticiper. L'Ataru est divisée en 2 branches majeures, l'une acrobatique et très bien connue, souvent confondue avec le vaapad acrobatique, la deuxième, beaucoup plus calme, est basé sur l'écoute de force vivante
C'est l'une des rares formes qui fait appel à la force et qui ne soit pas "corruptible". En effet, un maître convaincu et comprenant cette forme ne sera pas attiré par le côté obscur lors de sa pratique. La philosophie de cette forme est l'élément principal de sa maîtrise.

Forme V, Djem So


Dite Forme de Persévérance

Le Djem So est généralement enseignée en troisième, juste après, ou simultanément à la Forme IV. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I et IV ; il dure environ six mois pour les bases, et jusqu'à cinq à sept années d'entraînement pour un style abouti.

Postures : toutes.

Ce style conçu pour tous les types de combat est le pendant offensif de la Forme III, avec laquelle il se combine très bien ; stratégie offensive, focalisation et enchaînement d'attaques directes, peu de feintes.

Le corps a une attitude mobile, centrée sur l'attaque de l'adversaire, les bras accompagnent le sabre et lui donnent puissance et précision. Le Djem So utilise des attaques uniques puissantes, des parades coupées et des enchaînements tournoyants dont le but est d'être sans cesse en phase offensive. Très polyvalent, focalisé, ce style représente un bon compromis attaque - défense, et permet de trouver un certain équilibre en combat. Cependant, par essence, le Djem So est un style d'attaque et il peut vite devenir très agressif, trahissant au cœur du combat, par facilité ou perte de contrôle, la philosophie Jedi.

Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), Djem So et Shien sont confondues.

Voilà pour les formes primaires, si vous voulez plus d’infos, n’hésitez pas à chercher sur l’holonet.
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